Agroécologie contre hausse du pétrole et engrais chimiques
Le prix des carburants est à la hausse, en raison des crises politiques
dans le monde arabe, et commence à provoquer une hausse du prix des aliments dans les épiceries à travers le monde.
Le baril de pétrole, en franchissant le cap des 100 dollars US sur le marché à New York, retrouve son niveau le plus élevé depuis 2008.
Les entreprises qui dépendent du transport par camion s’inquiètent
de cette hausse.
La hausse du coût du transport commence ainsi à se faire sentir dans les épiceries au Canada. La chaîne de supermarchés Loblaws
indique d’ailleurs que les prix augmentent, en son sein, de 5 % à partir d’avril.
Précisément, l’indice FAO des prix montre que la hausse des prix du pétrole ainsi que les aléas climatiques ont nourri ces dernières années des tensions sur les prix alimentaires mondiaux.
Vantée surtout au Canada comme dans l’ensemble des pays nordiques et germaniques, l’agroécologie tend à être, au Sud en particulier, l’une des alternatives à la dépendance au pétrole et aux autres matières nuisibles à l’environnement comme l’engrais chimique.
La méthode de l’agroécologie est basée sur le renouvellement des sols en bannissant ces engrais. Cela permet d’améliorer les rendements dans les régions les plus pauvres, tout en étant en prenant en considération la donne du changement climatique. Un récent rapport de l’ONU le confirme. De quoi conforter le petit nombre d’agriculteurs et de militants de l’agroécologie situés
de l’autre côté de la rive méridionale de la Méditerranée.
« À ce jour, les projets agroécologiques ont montré une augmentation
moyenne des rendements de 80 % dans 57 ‘‘pays en développement’’,
avec une augmentation moyenne de 116 % pour tous les projets africains », constate Olivier de Schutter, rapporteur
spécial de l’ONU pour le droit à l’alimentation et auteur du rapport.
dans le monde arabe, et commence à provoquer une hausse du prix des aliments dans les épiceries à travers le monde.
Le baril de pétrole, en franchissant le cap des 100 dollars US sur le marché à New York, retrouve son niveau le plus élevé depuis 2008.
Les entreprises qui dépendent du transport par camion s’inquiètent
de cette hausse.
La hausse du coût du transport commence ainsi à se faire sentir dans les épiceries au Canada. La chaîne de supermarchés Loblaws
indique d’ailleurs que les prix augmentent, en son sein, de 5 % à partir d’avril.
Précisément, l’indice FAO des prix montre que la hausse des prix du pétrole ainsi que les aléas climatiques ont nourri ces dernières années des tensions sur les prix alimentaires mondiaux.
Vantée surtout au Canada comme dans l’ensemble des pays nordiques et germaniques, l’agroécologie tend à être, au Sud en particulier, l’une des alternatives à la dépendance au pétrole et aux autres matières nuisibles à l’environnement comme l’engrais chimique.
La méthode de l’agroécologie est basée sur le renouvellement des sols en bannissant ces engrais. Cela permet d’améliorer les rendements dans les régions les plus pauvres, tout en étant en prenant en considération la donne du changement climatique. Un récent rapport de l’ONU le confirme. De quoi conforter le petit nombre d’agriculteurs et de militants de l’agroécologie situés
de l’autre côté de la rive méridionale de la Méditerranée.
« À ce jour, les projets agroécologiques ont montré une augmentation
moyenne des rendements de 80 % dans 57 ‘‘pays en développement’’,
avec une augmentation moyenne de 116 % pour tous les projets africains », constate Olivier de Schutter, rapporteur
spécial de l’ONU pour le droit à l’alimentation et auteur du rapport.